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Les plagiaires
La nature en tant que modèle
Des designers et des architectes se tournent vers la nature en quête de modèles d’ingénierie et pratiquent le bio-mimétisme. Ils imitent les procédés ou les comportements observés dans le monde naturel, mais travaillent avec des technologies et matériaux issus de production industrielle et digitale.
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Les nouveaux artisans
La nature en tant que collègue de travail
Ces designers et architectes collaborent avec la nature à l’état « naturel ». Ils travaillent avec des abeilles, des champignons, des bactéries, des algues ou des plantes afin de développer de nouvelles techniques pour fabriquer des produits de consommation. Ici, le design se rapporte plus au jardinage et à l’agriculture qu’à la fabrication industrielle.
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Les bio-hackers
La nature génétiquement reprogrammée, dite « synthétique »
Ces designers et artistes travaillent en collaboration avec des biologistes synthétiques ou se réfèrent à la recherche de bio-ingénierie de pointe. Ils imaginent ce que nos produits, interfaces et environnements de demain pourraient devenir grâce à la reprogrammation du vivant. Leurs idées illustrent un monde futur possible.
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Les nouveaux alchimistes
La nature hybridée
Ici, designers, architectes et artistes proposent d’explorer la fusion de la biologie, la chimie, la robotique et les nanotechnologies pour créer de nouveaux organismes hybrides. Ils combinent le vivant avec le non-vivant.
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Les agents provocateurs
La nature conceptualisée ou imaginée
Ce dernier groupe d’artistes et de designers explorent de façon provocatrice un avenir plus lointain. Leur travail de prospective encourage un débat sur les questions éthiques liées à ces nouvelles relations possibles avec la nature et la notion d’écologie high-tech.